On a essayé de discréditer la parole des femmes qui parlaient de leurs corps et leurs douleurs. On leur a reproché d’être hystériques, d’avoir des douleurs nerveuses. Les plaintes des hommes sont davantage prises au sérieux.
Ceci reste une réalité aujourd’hui comme l’illustrent par exemple l’autrice américaine Suzannah Weiss (#My Doctor said) ou le médecin et auteur français Martin Winckler.