Je trouve ce concept d’Anna Freud particulièrement intéressant. C’est le fait de vivre par procuration : le moi se défend contre l’angoisse en abandonnant ses ambitions pour celles d’un autre.
Cela m’a fait penser à toutes les théories qui mettent en avant la bonté et l’empathie des femmes….
Pourrait-on montrer que les femmes sont poussées à des soumissions altruistes par les conditions dans lesquelles on les élève ? Peut-on « prédestiner » à des mécanismes de défense ?
D’autre part doit-on se méfier de l’altruisme ? Des mères et des gouvernantes qui vivent par procuration ?
Ceci ouvre une réflexion sur le travail social, l’aide….